La vie sur Terre ne semble pas tenir sur la même droite que celle fut dans le paradis à Adam et Êve. Sans doute, elle est assimilée à une lutte vulgaire pour la survie non seulement pour l’Homme y compris les animaux. C’est plutôt un terrain auquel toutes les espèces sont invitées à développer un savoir-faire au profit de leurs pérennités. Certaines fois, on a l’impression de voir que la vie pour les animaux semble mieux aisée qu’elle ne l’est pour l’Homme.
Du fait du haut de sa conscience, l’être humain est plus que jamais contraint à travailler. Un dur labeur pour subvenir à ses besoins et à celle de sa communauté. Alors, les efforts proprement-dites sont-ils en rapport avec la chance ? Ou encore la Réussite est-elle la combinaison d’un ensemble d’efforts et de chances ? pour y parvenir à consentir des principes suffisamment convaincants, imaginons que nous soyons amenés à progresser pour une sélection finale, une ultime étape.
Il faut que l’on sache que les courages et les peines accumulés n’ont souvent pas tendances à s’égaler aux valeurs escomptées. La situation finale n’est pas plutôt en volteface mais peut se faire valoir être en faveur du consentement d’un individu soit au pire des cas, le contraire.
Comment expliquer un tel phénomène pareil dans la vie courante ? Sans doute, plusieurs d’entre vous, solliciteront le rôle de la chance. Dans cette condition, la chance assume-elle sa part de responsabilité dans l’évolution de chaque épreuve ? Est-elle injuste pour certain qu’elle ne l’est pour d’autre ? une première de chose que nous pouvons légitiment envisager et qui saurait un point commun entre les différents lecteurs : c’est celle de concevoir d’abord l’essence de la chance. Elle est définie comme étant un aléa, un hasard, une vraisemblance. Mais quantifiable et qui est mesurée par une probabilité, le nombre de chance qu’un évènement puisse avoir lieu.
Revenons-y sur l’expérience de la qualification finale pour entrevoir la cohérence. Imaginer que vous faites partie alors de ces finalistes. Vous êtes amené à faire un choix entre quatre lettres ‘A’, ‘B’, ‘C’ et ‘D’. Comme l’expression chance commence par la lettre ‘C’, nous allons prétendre dire que ‘C’ est la bonne option
parmi les autres. Autrement-dit chaque individu des finalistes auront chacun 25
chances sur 100 de célébrer leur moment de gloire.
Malgré vos efforts et la détermination que vous vous êtes engagés pour venir à
la hauteur de vous-même, encore soit-il que le résultat attendu ne saurait guère une
suite directe de vos engagements. Pour ainsi dire que la chance n’est pas observable
mais estimable. Elle est identique pour chaque individu et par conséquent neutre. C’est
plutôt notre libre arbitre qui en détermine la cause première de nos choix, des
conséquences de nos travails et des décisions prisent continuellement dans nos vies.
Cependant, comment allons-nous expliciter la notion absurde qui se rattache à
une situation favorable que pourrait avantager une personne physique ou morale ou
encore un Etat. Il s’agit clairement une longueur d’onde d’avance pour l’individu
possesseur que celui qui en est privé. La chance est-elle dans ce cas un privilège ?
autrement-dit le privilège est-il lui-même une chance ? A juste titre d’exemple, on se
rend compte que les avantages comparatifs entre les pays sont bien complémentaires
sur le plan économique. Il convient de dire qu’il est plutôt bénéfique pour tous, c’està-
dire une externalité positive multilatérale.
Abdi-Basid ADAN
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