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Les PrinciPes de l’âme Attachons-nous cette fois-ci aux principes purs et simples de l’âme ? Il est de nature évident qu’il est un sujet relevant du domaine métaphysique. Une thématique assez complexe que nulle la science ne semble l’expliquer. En effet, l’idée directrice de l’âme se rapporte sans aucun doute à celui de la vie, en ce sens au battement du coeur, puis à la respiration, deux grands indicateurs de l’être vivant. En s’y intéressant de plus près, on remarque qu’il s’agit d’une énergie parfaite qui semble animer l’ensemble du corps. Une autosuffisance inestimable en elle. Une puissance inépuisable. Toutefois, voué à un départ obligatoire de ce monde après un séjour qui varie d’un individu ou d’une espèce à l’autre, bien distinct en heure, en jours, en année, en siècles…etc. Un corps et une âme pour former une espèce. Deux principes à l’aboutissement d’un être. Il est usage d’en rappeler qu’il faudrait toujours deux fondements en rapport pour attester une stabilité (fonctionnement) quelconque dans la nature, comme l’attraction gravitationnelle et la sphéricité de la Terre pour l’équilibre à sa surface ; l’expiration et l’inspiration pour la respiration, le frottement et l’oxygène pour le feu, le poids et la poussé d’Archimède…etc. Absolument, on en a appris grâce à la science, à la suite de la fécondation ou la fusion des informations des gamètes pour la finalité de converger vers un embryon, au cours de 9 mois de la création d’une espèce. On ne parvient guère à clarifier le concept de l’âme dans cette phase cruciale pour la compréhension de cette dernière. En réalité, la fusion des informations génétiques ne peut permettre que la formation d’autres cellules ou encore un organisme, mais pas en évidence un esprit ou une âme. Nécessairement, il existerait, donc une étape primordiale pour la conception spirituelle lors de celui de l’organisme. Biens que les cellules ne suffisent pas à former un être qui vit. En ce sens en l’absence d’une composante vitale à sa création qui n’est rien d’autre que l’âme.
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Aussi mystérieuse qu’elle soit, mais alors d’où viens-t-elle et qu’elle est son
histoire ? A ce jour, il n’existerait aucune information prouvable sur la création de l’âme.
En dépit de quoi, cet esprit ne se rappelle nulle guère de sa période de préexistence
avant son introduction dans le corps. Son histoire semble aboutir bien après la
naissance.
Il y’a quand même une anecdote entre ‘esprit et intelligence’. L’intelligence est
plutôt organique, mais l’esprit intangible se sert pour combler à sa fin. En terme plus
claire, il représente à la fois pour lui, une source de traitement de données visuelles,
audio, odorat, sens, …etc. Mais aussi de stockages d’informations sous forme de
souvenirs, de rappelles, de récitation…etc. Alors, cela suppose bien, que l’esprit se
sert bien de son système de traitement d’information, mais pas autant celui de
stockage, c’est plutôt avec le temps que cette capacité devienne opérationnelle.
Il est évident qu’un enfant pleure à la suite d’une perturbation face à une force
supérieure étrangère. Malgré cet avantage, une fois mature, l’Homme ne se rappelle
plus rien de ses premiers jours, semaines, mois et années.
En ce sens, l’âme ne se souvient de rien de son passé, ni d’ailleurs, du processus
de la formation de l’embryon au foetus, …etc. Enfermer dans un corps, il est le gérant
absolue de l’organisme. En quelque sorte son propre « jungle ». Il arrive parfois, que
l’Homme lui-même n’arrive point à s’auto comprendre, la raison pour laquelle souvent
certaines personnes ont recours aux psys. Elle est certainement due aux informations
de stockages que l’individu a su réaliser sans faire attention.
Cependant, que pouvons-nous connaitre davantage sur lui ? Il est presque
palpable de persuader que la quête de l’âme laissera éclaircir sur la véracité par
justesse recélée de l’Homme. L’âme une fois en dehors de sa carcasse, ne mérite plus
de séjour sur cette Terre, en effet, le temps de désintégration du corps est arrivé, pour
l’âme ne se reste un nouvel départ, alors cela semble raisonnable de solliciter l’’idée
de l’accueil vers un autre espace distinct de ce présent.
Tout comme, l’arrivé dans ce monde, l’esprit écroué dans un corps est accueilli
par une famille ou autrui. Cet espace lui semble inconnu et c’est au fur et à mesure,
qu’il apprend à découvrir c’est que vraiment l’ici-bas.
3
Par la, un premier concept intuitif peut se déduire : Avec conviction, l’âme dans
un corps assure la vie d’ici selon un terme (séjour) quelconque. Il n’en est pas exclu
lors du sommeil, bien que l’inconscient règne dans l’esprit, l’homme continue à respirer
et dès la encore un signe fort d’un corps en vie.
Les philosophes le dénomment l’instinct de vie, cette volonté de vivre
constamment et de ne pas vouloir céder la vie. En réalité, c’est après avoir pris
connaissance de la vie sur Terre, à travers les diverses sensations que l’âme s’attache
beaucoup plus à régner dans ce monde aux formes et aux couleurs variés, assurer sa
survie pour toujours. L’une de raison pour laquelle d’ailleurs, elle éviterait de la quitter.
Un autre point remarquable est que les esprits s’accouplent, à l’inverse des
anges. Les âmes réagissent à travers le corps, et non pas par elle-même. Dans ce
cas précis, nous pouvons désigner ce monde, comme le monde de carcasse ou de
corps, contrairement à celui des âmes.
Existerait-il une vie après la mort ? Dans cette vie, les âmes sont encloses dans
un corps, que nous l’avions précédemment désigné la vie d’ici-bas comme la vie
corporelle. Il est sans doute irréfutable de voir une réalité qui fait souvent peur : celui
de voir le corps vieillir avec le temps. En ce sens, le corps évolue avec le temps.
L’organisme a connu sa création dans ce monde et saura sa fin aussi, pour en devenir
de la poussière. Dès la, il s’agit d’entrevoir qu’il est bien question d’une vie selon un
terme fixe et indirectement liée au corps. Il n’en est point pour un séjour propre à l’âme.
Son histoire est abstraite, il vient spontanément jouer un rôle vital dans le corps
lors la formation de foetus. Ceci spécule sur la possibilité certaine d’une autre vie
réservé spécialement pour l’âme.
Quelle est ses particularités en dehors de ceux que nous venons d’évoquer ?
Parmi les créatures surnaturelles, les anges, les âmes, les diables et les djinns ont
tous plusieurs points communs et divergents. En ce qui concerne, pour les âmes,
celles-ci sont vouées à un terme réduit à gouter la mort par rapport aux autres. Ainsi,
ils existeraient une différence entre l’âme de l’Homme et celui des autres créatures sur
Terre comme les animaux, les végétaux…etc.
Voyons voir ceux que devisent les autres sources ? L’une des sources, la plus
convaincante de la création de l’homme dans sa phase microscopique est mentionnée
à plusieurs reprises dans le coran datant de septièmes siècles, comme rapportent ces
4
versets : « [72] Une fois que Je lui aurai donné sa forme définitive et l’aurai animé de
Mon souffle, vous vous prosternerez devant lui. » 38. Sourate Sâd (Sâd). « [7] C’est
Lui qui a créé toute chose à la perfection et qui a instauré la création de l’homme à
partir de l’argile ; [8] puis d’un vil liquide Il a tiré sa descendance ; [9] puis Il lui a donné
une forme harmonieuse et a insufflé en lui de Son Esprit, vous dotant ainsi de l’ouïe,
de la vue et de l’intelligence. Mais il est rare que vous Lui témoigniez votre
reconnaissance ! » 32. Sourate de la Prosternation (As-Sajda).
En islam, Dieu envoie l’ange pour insuffler l’âme dans l’’organisme en conception.
En effet, selon ce qui a été rapporté dans un récit prophétique (Hadith authentique
rapporté par l’imam Bukhâri et l’imam Mouslim), d’après le compagnon AbdAllah ibn
Massoud :
« le Messager le très véridique nous a dit que l’un de vous est constitué dans
l’utérus de sa mère pendant 40 jours. Et puis, il se transforme en caillot de sang
pendant le même laps de temps. Et puis il devient un foetus pendant le même laps de
temps. Et puis on envoie l’ange pour lui insuffler une âme et l’on donne à l’ange l’ordre
d’écrire quatre mots concernant sa subsistance, le terme de sa vie, son oeuvre et son
sort : sera-t-il heureux ou malheureux. »
Dès lors, qu'en est-il de l'âme face à l'évènement de la mort, si celui-ci ne
consiste de se séparer du corps ? Dans ce cas, peut-on-dire que l'âme est immortelle
?
En vérité, l’âme est à la fois principe de la vie mais aussi de la mort. Il est légitime
de penser que la mort n’est rien du tout la fin pour la composante organique et
matérielle et non celle spirituelle et immatérielle. En ce termes, l’âme est donc
immortelle.
L’équation simple du secret de la vie est celle de dire que l’âme + le corps= la vie
et que le corps lui-même n’est ni la mort ni la vie. Car il existe deux phases lors de la
conception de l’organisme :
D’abord la phase de l’intégration à partir de la formation de cellule oeuf et la phase
dite de la désintégration, qui arrive lors de la décomposition du corps. La biologie ne
semble en aucun cas expliquer cette composante immatérielle de la vie. Il est vrai de
s’apercevoir de l’importance qu’à octroyer la science à l’étude de l’organisme au quelle
coïncide à l’amélioration du bien-être. La santé en ce sens est un aspect de la partie
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matérielle et non spirituelle. La relation corps et âme est une relation d’interposition
lors de l’épreuve du souffle vital.
Encore, plus étonnant, le corps représente un obstacle pour la faculté de l’âme à
pouvoir aller au-delà de cette composante matérielle au quelle il se trouve dissimuler.
Or la mort pour l’âme est un moment de divulgation de lui-même. Cette épreuve lui
semble ardue et non souhaitée du fait de la déficience de l’expérience de l’existence
sans corps.
Nonobstant, c’est à travers duquel l’âme récent aussi une douleur, un moyen
pour lui de subir une souffrance. Plus une cause organique semble source d’un mal
être et plus la peine demeure consistée. Mais notant bien que le rendement est
croissant de façon conjointe. Il s’agit d’un canal de punition, un point faible de l’âme.
En réalité, la faiblesse de l’Homme n’est donc pas dû à la composante immatérielle
mais à celle matérielle qui émane d’un rattachement entre deux unités de la vie qui ne
sont les gamètes.
Le lien de génération, plus précisément : liens parentaux, de fraternité ou
familiale ne renferme pas l’aspect de l’âme. Dans le monde l’au-delà, cette filiation
résistante dans le rapport entre humain se verra insignifiant. Car c’est dans le monde
de l’organisme que ce lien reste inébranlable.
Mais le rapport conjugal entre homme et femme est aussi organique mais
éventuellement pas spirituelle. Peut-on dire alors qu’il n’y’a pas de genre pour les
âmes. A vrai dire l’imitation de comportements de femmes par les hommes et vice
versa nous laisse envisager cette opinion. Mes propos ne veulent pas notifier que
l’âme est sans sexe, en d’autres termes identiques pour l’homme et la femme et ne se
reproduit pas, mais plutôt laissent en suspens tout question perplexe. Puisque cette
remise en cause ne sont pas si importantes dans l’évolution de la vie quotidienne. La
considération idéale serait d’entrevoir que le monde corporel en un séjour corporel et
qu’une aventure spirituelle nous attend tous dans un temps de non retournement.
Une de chose encore plus remarquable est que l’âme, ce souffle vital ne vieillit
pas, contrairement à l’organisme, qui représente aussi un objet dont le sujet n’est pas
l’Homme mais l’âme. Cela dit j’ai le même âge que ADAM, le père de l’humanité, ou
ma grand-mère et moi sommes de mêmes âges sur le point de vue de l’âme et non du
corps. Par ailleurs, l’après vie est marquée par la disparité des liens familiaux qui
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unissent plusieurs individus facilement structurables en une arbre généalogique. Se
pourrait-elle être alors la cause première de la vie après la mort. C’est qui est sûre est
que les descendances sont plutôt fondées par un lien d’organisme et non d’une
procréation par souffle vital.
Il est regrettable de voir aussi la biologie, totalement absente sur le défrichage
d’une composante non dérisoire de la vie. On relève aussi que l’âme n’est pas
admiratrice de la vérité. Rien que le fait d’être incorporé dans un corps lui procure la
volonté d’être abstraite et par ce fait de s’éloigner de la vérité. La nature et l’organisme
humain sont interreliés par la composante de la pulsion, qui pousse l’être vivant à
assurer une progéniture permettant de surpeuplée sur Terre. De même la nature et
l‘être vivant sont liés aussi par le câble de la consommation.
En général, la dépendance est complexe que ce que nous l’imaginons, en ce
sens, la vie dépend de l’âme et l’organisme aussi en dépend. Pareillement, la nature,
quant à elle, découle de l’organisme, la raison pour laquelle on est censé protéger les
espèces menacées pour le maintien de la biodiversité.
Autre aspect plus stupéfiante est celui du châtiment divin. La punition de l’âme
se fait indirectement par le biais de l’organisme auquel il se trouve. Mais nous
connaissons aussi, a part la situation initiale de l’âme, le fait d’être insurger dans deux
tombeaux est impressionnant. Or, le corps en est par excellence, sa première tombe.
Au cours, de la grossesse, il se trouve encore que nous eussions été dans un second
organisme : l’initialisation de la vie sur Terre. Nonobstant, le départ est de telle aussi.
Puisque, à la place d’un autre corps, cette fois ci, c’est au sein de la Terre. Le concept
de double tombeau est lié à un début et fin d’une vie.
Mais toujours soit-il que l’âme soit indépendante de l’évolution du temps. La
relativité restreint de Einstein est vrai sur une remise en cause, l’existence de temps.
A vrai dire, le temps existe pour certaines entités. Elle n’est pas absolue, mais relative.
Nous allons développer un autre article sur la perception du temps. Pensez-vous que
l’âme aurait besoin de manger et boire pour survivre ? La réponse la plus éminente et
efficiente est tout simplement non.
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En effet, la consommation est vouée pour le fonctionnement du corps auquel
l’âme joue un rôle clé. C’est le corps qui nécessite de consommation de bienêtre et
non l’âme. Même, pour le sommeil, le corps demande d’un repos, se peut-il que l’âme
exige une telle requête ? Il est fort palpable que l’âme soit indépendante de plusieurs
comportements corporels humain.
Mais il est à souligner que visiblement, l’âme partage des points communs avec
le divin. L’âme n’est pas un divin, parce qu’elle ne permet pas de donner la vie ou la
mort, mais avec l’appui d’un ange, autrement-dit selon la volonté divine.
Abdi-Basid ADAN
Les PrinciPes de l’âme Attachons-nous cette fois-ci aux principes purs et simples de l’âme ? Il est de nature évident qu’il est un sujet relevant du domaine métaphysique. Une thématique assez complexe que nulle la science ne semble l’expliquer. En effet, l’idée directrice de l’âme se rapporte sans aucun doute à celui de la vie, en ce sens au battement du coeur, puis à la respiration, deux grands indicateurs de l’être vivant. En s’y intéressant de plus près, on remarque qu’il s’agit d’une énergie parfaite qui semble animer l’ensemble du corps. Une autosuffisance inestimable en elle. Une puissance inépuisable. Toutefois, voué à un départ obligatoire de ce monde après un séjour qui varie d’un individu ou d’une espèce à l’autre, bien distinct en heure, en jours, en année, en siècles…etc. Un corps et une âme pour former une espèce. Deux principes à l’aboutissement d’un être. Il est usage d’en rappeler qu’il faudrait toujours deux fondements en rapport pour attester une stabilité (fonctionnement) quelconque dans la nature, comme l’attraction gravitationnelle et la sphéricité de la Terre pour l’équilibre à sa surface ; l’expiration et l’inspiration pour la respiration, le frottement et l’oxygène pour le feu, le poids et la poussé d’Archimède…etc. Absolument, on en a appris grâce à la science, à la suite de la fécondation ou la fusion des informations des gamètes pour la finalité de converger vers un embryon, au cours de 9 mois de la création d’une espèce. On ne parvient guère à clarifier le concept de l’âme dans cette phase cruciale pour la compréhension de cette dernière. En réalité, la fusion des informations génétiques ne peut permettre que la formation d’autres cellules ou encore un organisme, mais pas en évidence un esprit ou une âme. Nécessairement, il existerait, donc une étape primordiale pour la conception spirituelle lors de celui de l’organisme. Biens que les cellules ne suffisent pas à former un être qui vit. En ce sens en l’absence d’une composante vitale à sa création qui n’est rien d’autre que l’âme.
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Aussi mystérieuse qu’elle soit, mais alors d’où viens-t-elle et qu’elle est son
histoire ? A ce jour, il n’existerait aucune information prouvable sur la création de l’âme.
En dépit de quoi, cet esprit ne se rappelle nulle guère de sa période de préexistence
avant son introduction dans le corps. Son histoire semble aboutir bien après la
naissance.
Il y’a quand même une anecdote entre ‘esprit et intelligence’. L’intelligence est
plutôt organique, mais l’esprit intangible se sert pour combler à sa fin. En terme plus
claire, il représente à la fois pour lui, une source de traitement de données visuelles,
audio, odorat, sens, …etc. Mais aussi de stockages d’informations sous forme de
souvenirs, de rappelles, de récitation…etc. Alors, cela suppose bien, que l’esprit se
sert bien de son système de traitement d’information, mais pas autant celui de
stockage, c’est plutôt avec le temps que cette capacité devienne opérationnelle.
Il est évident qu’un enfant pleure à la suite d’une perturbation face à une force
supérieure étrangère. Malgré cet avantage, une fois mature, l’Homme ne se rappelle
plus rien de ses premiers jours, semaines, mois et années.
En ce sens, l’âme ne se souvient de rien de son passé, ni d’ailleurs, du processus
de la formation de l’embryon au foetus, …etc. Enfermer dans un corps, il est le gérant
absolue de l’organisme. En quelque sorte son propre « jungle ». Il arrive parfois, que
l’Homme lui-même n’arrive point à s’auto comprendre, la raison pour laquelle souvent
certaines personnes ont recours aux psys. Elle est certainement due aux informations
de stockages que l’individu a su réaliser sans faire attention.
Cependant, que pouvons-nous connaitre davantage sur lui ? Il est presque
palpable de persuader que la quête de l’âme laissera éclaircir sur la véracité par
justesse recélée de l’Homme. L’âme une fois en dehors de sa carcasse, ne mérite plus
de séjour sur cette Terre, en effet, le temps de désintégration du corps est arrivé, pour
l’âme ne se reste un nouvel départ, alors cela semble raisonnable de solliciter l’’idée
de l’accueil vers un autre espace distinct de ce présent.
Tout comme, l’arrivé dans ce monde, l’esprit écroué dans un corps est accueilli
par une famille ou autrui. Cet espace lui semble inconnu et c’est au fur et à mesure,
qu’il apprend à découvrir c’est que vraiment l’ici-bas.
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Par la, un premier concept intuitif peut se déduire : Avec conviction, l’âme dans
un corps assure la vie d’ici selon un terme (séjour) quelconque. Il n’en est pas exclu
lors du sommeil, bien que l’inconscient règne dans l’esprit, l’homme continue à respirer
et dès la encore un signe fort d’un corps en vie.
Les philosophes le dénomment l’instinct de vie, cette volonté de vivre
constamment et de ne pas vouloir céder la vie. En réalité, c’est après avoir pris
connaissance de la vie sur Terre, à travers les diverses sensations que l’âme s’attache
beaucoup plus à régner dans ce monde aux formes et aux couleurs variés, assurer sa
survie pour toujours. L’une de raison pour laquelle d’ailleurs, elle éviterait de la quitter.
Un autre point remarquable est que les esprits s’accouplent, à l’inverse des
anges. Les âmes réagissent à travers le corps, et non pas par elle-même. Dans ce
cas précis, nous pouvons désigner ce monde, comme le monde de carcasse ou de
corps, contrairement à celui des âmes.
Existerait-il une vie après la mort ? Dans cette vie, les âmes sont encloses dans
un corps, que nous l’avions précédemment désigné la vie d’ici-bas comme la vie
corporelle. Il est sans doute irréfutable de voir une réalité qui fait souvent peur : celui
de voir le corps vieillir avec le temps. En ce sens, le corps évolue avec le temps.
L’organisme a connu sa création dans ce monde et saura sa fin aussi, pour en devenir
de la poussière. Dès la, il s’agit d’entrevoir qu’il est bien question d’une vie selon un
terme fixe et indirectement liée au corps. Il n’en est point pour un séjour propre à l’âme.
Son histoire est abstraite, il vient spontanément jouer un rôle vital dans le corps
lors la formation de foetus. Ceci spécule sur la possibilité certaine d’une autre vie
réservé spécialement pour l’âme.
Quelle est ses particularités en dehors de ceux que nous venons d’évoquer ?
Parmi les créatures surnaturelles, les anges, les âmes, les diables et les djinns ont
tous plusieurs points communs et divergents. En ce qui concerne, pour les âmes,
celles-ci sont vouées à un terme réduit à gouter la mort par rapport aux autres. Ainsi,
ils existeraient une différence entre l’âme de l’Homme et celui des autres créatures sur
Terre comme les animaux, les végétaux…etc.
Voyons voir ceux que devisent les autres sources ? L’une des sources, la plus
convaincante de la création de l’homme dans sa phase microscopique est mentionnée
à plusieurs reprises dans le coran datant de septièmes siècles, comme rapportent ces
4
versets : « [72] Une fois que Je lui aurai donné sa forme définitive et l’aurai animé de
Mon souffle, vous vous prosternerez devant lui. » 38. Sourate Sâd (Sâd). « [7] C’est
Lui qui a créé toute chose à la perfection et qui a instauré la création de l’homme à
partir de l’argile ; [8] puis d’un vil liquide Il a tiré sa descendance ; [9] puis Il lui a donné
une forme harmonieuse et a insufflé en lui de Son Esprit, vous dotant ainsi de l’ouïe,
de la vue et de l’intelligence. Mais il est rare que vous Lui témoigniez votre
reconnaissance ! » 32. Sourate de la Prosternation (As-Sajda).
En islam, Dieu envoie l’ange pour insuffler l’âme dans l’’organisme en conception.
En effet, selon ce qui a été rapporté dans un récit prophétique (Hadith authentique
rapporté par l’imam Bukhâri et l’imam Mouslim), d’après le compagnon AbdAllah ibn
Massoud :
« le Messager le très véridique nous a dit que l’un de vous est constitué dans
l’utérus de sa mère pendant 40 jours. Et puis, il se transforme en caillot de sang
pendant le même laps de temps. Et puis il devient un foetus pendant le même laps de
temps. Et puis on envoie l’ange pour lui insuffler une âme et l’on donne à l’ange l’ordre
d’écrire quatre mots concernant sa subsistance, le terme de sa vie, son oeuvre et son
sort : sera-t-il heureux ou malheureux. »
Dès lors, qu'en est-il de l'âme face à l'évènement de la mort, si celui-ci ne
consiste de se séparer du corps ? Dans ce cas, peut-on-dire que l'âme est immortelle
?
En vérité, l’âme est à la fois principe de la vie mais aussi de la mort. Il est légitime
de penser que la mort n’est rien du tout la fin pour la composante organique et
matérielle et non celle spirituelle et immatérielle. En ce termes, l’âme est donc
immortelle.
L’équation simple du secret de la vie est celle de dire que l’âme + le corps= la vie
et que le corps lui-même n’est ni la mort ni la vie. Car il existe deux phases lors de la
conception de l’organisme :
D’abord la phase de l’intégration à partir de la formation de cellule oeuf et la phase
dite de la désintégration, qui arrive lors de la décomposition du corps. La biologie ne
semble en aucun cas expliquer cette composante immatérielle de la vie. Il est vrai de
s’apercevoir de l’importance qu’à octroyer la science à l’étude de l’organisme au quelle
coïncide à l’amélioration du bien-être. La santé en ce sens est un aspect de la partie
5
matérielle et non spirituelle. La relation corps et âme est une relation d’interposition
lors de l’épreuve du souffle vital.
Encore, plus étonnant, le corps représente un obstacle pour la faculté de l’âme à
pouvoir aller au-delà de cette composante matérielle au quelle il se trouve dissimuler.
Or la mort pour l’âme est un moment de divulgation de lui-même. Cette épreuve lui
semble ardue et non souhaitée du fait de la déficience de l’expérience de l’existence
sans corps.
Nonobstant, c’est à travers duquel l’âme récent aussi une douleur, un moyen
pour lui de subir une souffrance. Plus une cause organique semble source d’un mal
être et plus la peine demeure consistée. Mais notant bien que le rendement est
croissant de façon conjointe. Il s’agit d’un canal de punition, un point faible de l’âme.
En réalité, la faiblesse de l’Homme n’est donc pas dû à la composante immatérielle
mais à celle matérielle qui émane d’un rattachement entre deux unités de la vie qui ne
sont les gamètes.
Le lien de génération, plus précisément : liens parentaux, de fraternité ou
familiale ne renferme pas l’aspect de l’âme. Dans le monde l’au-delà, cette filiation
résistante dans le rapport entre humain se verra insignifiant. Car c’est dans le monde
de l’organisme que ce lien reste inébranlable.
Mais le rapport conjugal entre homme et femme est aussi organique mais
éventuellement pas spirituelle. Peut-on dire alors qu’il n’y’a pas de genre pour les
âmes. A vrai dire l’imitation de comportements de femmes par les hommes et vice
versa nous laisse envisager cette opinion. Mes propos ne veulent pas notifier que
l’âme est sans sexe, en d’autres termes identiques pour l’homme et la femme et ne se
reproduit pas, mais plutôt laissent en suspens tout question perplexe. Puisque cette
remise en cause ne sont pas si importantes dans l’évolution de la vie quotidienne. La
considération idéale serait d’entrevoir que le monde corporel en un séjour corporel et
qu’une aventure spirituelle nous attend tous dans un temps de non retournement.
Une de chose encore plus remarquable est que l’âme, ce souffle vital ne vieillit
pas, contrairement à l’organisme, qui représente aussi un objet dont le sujet n’est pas
l’Homme mais l’âme. Cela dit j’ai le même âge que ADAM, le père de l’humanité, ou
ma grand-mère et moi sommes de mêmes âges sur le point de vue de l’âme et non du
corps. Par ailleurs, l’après vie est marquée par la disparité des liens familiaux qui
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unissent plusieurs individus facilement structurables en une arbre généalogique. Se
pourrait-elle être alors la cause première de la vie après la mort. C’est qui est sûre est
que les descendances sont plutôt fondées par un lien d’organisme et non d’une
procréation par souffle vital.
Il est regrettable de voir aussi la biologie, totalement absente sur le défrichage
d’une composante non dérisoire de la vie. On relève aussi que l’âme n’est pas
admiratrice de la vérité. Rien que le fait d’être incorporé dans un corps lui procure la
volonté d’être abstraite et par ce fait de s’éloigner de la vérité. La nature et l’organisme
humain sont interreliés par la composante de la pulsion, qui pousse l’être vivant à
assurer une progéniture permettant de surpeuplée sur Terre. De même la nature et
l‘être vivant sont liés aussi par le câble de la consommation.
En général, la dépendance est complexe que ce que nous l’imaginons, en ce
sens, la vie dépend de l’âme et l’organisme aussi en dépend. Pareillement, la nature,
quant à elle, découle de l’organisme, la raison pour laquelle on est censé protéger les
espèces menacées pour le maintien de la biodiversité.
Autre aspect plus stupéfiante est celui du châtiment divin. La punition de l’âme
se fait indirectement par le biais de l’organisme auquel il se trouve. Mais nous
connaissons aussi, a part la situation initiale de l’âme, le fait d’être insurger dans deux
tombeaux est impressionnant. Or, le corps en est par excellence, sa première tombe.
Au cours, de la grossesse, il se trouve encore que nous eussions été dans un second
organisme : l’initialisation de la vie sur Terre. Nonobstant, le départ est de telle aussi.
Puisque, à la place d’un autre corps, cette fois ci, c’est au sein de la Terre. Le concept
de double tombeau est lié à un début et fin d’une vie.
Mais toujours soit-il que l’âme soit indépendante de l’évolution du temps. La
relativité restreint de Einstein est vrai sur une remise en cause, l’existence de temps.
A vrai dire, le temps existe pour certaines entités. Elle n’est pas absolue, mais relative.
Nous allons développer un autre article sur la perception du temps. Pensez-vous que
l’âme aurait besoin de manger et boire pour survivre ? La réponse la plus éminente et
efficiente est tout simplement non.
7
En effet, la consommation est vouée pour le fonctionnement du corps auquel
l’âme joue un rôle clé. C’est le corps qui nécessite de consommation de bienêtre et
non l’âme. Même, pour le sommeil, le corps demande d’un repos, se peut-il que l’âme
exige une telle requête ? Il est fort palpable que l’âme soit indépendante de plusieurs
comportements corporels humain.
Mais il est à souligner que visiblement, l’âme partage des points communs avec
le divin. L’âme n’est pas un divin, parce qu’elle ne permet pas de donner la vie ou la
mort, mais avec l’appui d’un ange, autrement-dit selon la volonté divine.
Abdi-Basid ADAN
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