jeudi 13 septembre 2018

L’ascientifique science


La plus belle expression du jour se voudrait entendre dire et s’exposer sous une dénomination de confusion absolue au premier plan, toutefois, vers une purification de vérité à primer tout au long de ce travail de réflexion. Il s’entreprend sans équivoque avec la promulgation d’un point névralgique de la science, par essence proprement dite l’ascientifique science. L’idée sous-jacente que l’on voudrait sous-entendre par excellence s’avère beaucoup plus complexe que la perplexité qu’elle soulève en nous avec la simple lecture.
Avec bonne vaillance et clarté de préférence, la réflexion contenue dans cet article dérive d’une assertion qui ne nous laissera nullement, sans aucune indifférence. Par simplification de chose et dans un élan d’introspection, portant une attention toute singulière aux rapports pouvant bien exister entre trois entités clés qui, nous sont formellement, quotidiennes. En occurrence, ils s’agissent de « l’être humain », « la vie » et « la réalité ».
La recherche optée va dans le sens d’abord de faire diverger les perspectives en vue de les convergées toutes vers une thèse commune, qui n’a explicitement trait qu’avec l’entête de ce présent rapport. En tout état de cause, essentiel soit-il ? que nos convictions suprêmes, à un certain moment, à une certaine étape de la vie, soient amener à se détacher du haut de la grandeur de la considération comme fait véridique et sans contradiction absolue.
Irrationnel de croire que l’être humain existe réellement dans la nature. En effet, la reconnaissance de l’espèce humaine est une question de forme et non de fond. Si l’on arrive à bien distinguer un éléphant d’une fourmi, c’est parce que d’abord le principe de la morphologie tient capitalement à cette notion de classification. Très souvent, l’on prive à toute objet se trouvant dans une pièce du caractère spécifique pour les êtres : celle de l’autodétermination. En d’autres termes, on est tous d’accord qu’un passage d’un coup de vent et le contact visuel avec un autrui ne sont pas interprétés de la même manière par l’esprit. Il y’a toujours cet accord de priorité à l’entité pensante d’une valeur qui lui-même restitue par sa faculté de s’autodéterminée, une sorte de prestige par nature. Or, ce n’est par une âme que l’on peut se permettre. Un corps sans vie n’est pas si diffèrent d’un objet quelconque. Pour signifier ici, que l’être humain est une espèce invisible (âme) qui cherche à avoir une identité visible avec ce corps qui lui sert de quoi prouver son existence sur Terre. De ce fait, l’espèce humaine n’existe que par seulement et indirectement à travers une visibilité corporelle.
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La question de la vie est de même allégation. Je ne m’attache guère, ici, à la subjectivité
des principes, mais privilégie davantage et sans condition l’universalité de ces derniers. Fort
logique que nous soyons continuellement prises entre les jours et les nuits tout au long des
séjours sur Terre. Vous ne vous êtes jamais posé la question de savoir finalement si tel est le
cas. A vrai dire, l’obscurité de l’univers nous fait plonger dans la nuit et la lumière du soleil
dans le jour. Il n’y pas de jour et de nuit proprement dite, mais c’est plutôt l’embuscade ou « la
danse » de la Terre qui fait naitre cette sensation et qui en est ainsi. Pour dire simplement que
la vie est cette illusion qui laisse penser que tout est normale, logique et réelle. En ce sens, la
vie elle-même ne tiens pas à la logique sous plusieurs angles.
Dans cette condition, la réalité se moque-t-elle sans cesse de nos consciences ? Non pas
du tout, elle est connue pour être stable, constante. Alors d’où vient-elle la réalité perturbatrice ?
Des là, démarre la cogitation sur l’ascientifique science. Qu’est-ce que la science avant tout ?
C’est la faculté d’interagir avec la nature, de comprendre mieux, de la saisir, par-dessus de tout,
de vouloir la domestiquer sous plusieurs formes au gré et à la satisfaction de l’Homme. La quête
du savoir commença des le jour où l’homme a su la contrainte pesante de la vie sur Terre. En
ces termes précis, la science est celle qui nous fait découvrir la réalité. Mais si cette dernière est
utopique, dans ce cas, ne s’est-elle pas tromper d’avance sur cette base ?
Assez simple, comment expliquer avec la science certaines éventualités plausibles ?
Comme par exemple un passage terrestre dans l’océan atlantique comme c’était fut dans la mer
rouge lors de l’exode du peuple hébreu ; les marches des montagnes ; la compatibilité des
natures incompatibles ; l’accouchement d’une brebis par une grotte...etc. On ne saurait dire
qu’il relève de la manifestation divine. Tout à fait, malgré la réalité que l’on ne cesse
d’expliquer, il faut que l’on note que la réalité n’est pas aussi réelle qu’elle ne l’est. Beaucoup
des choses nous sont dissimulées. A tel point que tout est fait pour nous évaluer et qu’une
histoire bien plus différente existe au-delà de la réalité, l’être humain et de la vie.
Il convient de rappeler en dernier mot que la science, bien qu’une admiratrice de la
nature autant que telle. Elle peut toutefois, s‘avérer parfois relative parfois aussi contradictoire
à différents degrés. Comme nous venons de les démontrés, tous ce que nous connaissons de la
réalité sont loin d’être « un tout logique ». Encore une fois, certains phénomènes naturels déjà
découverts persistent toujours dans le flou le plus total, c’est le cas du rocher de Jérusalem en
suspension dans l'air, les mystérieux trous qui se forment à la surface de la terre de ces derniers
temps...etc.
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Abdi-Basid ADAN

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