jeudi 13 septembre 2018

Le concept de Darwin

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Le concept de Darwin, une théorie partielle et partiale Le paléontologie et naturaliste anglais Charles Darwin publie l’ouvrage intitulé « Dès L’origines des espèces » en 1859. C’est en effet, une l’hypothèse émise par Jean-Baptiste de Lamarck, 50 ans plutôt. Presque l’ensemble de ses travaux de recherche s’articule autour de trois points essentiels à savoir l’unité, la diversité des espèces et la sélection naturelle. En vérité, l’idée selon laquelle Darwin avance son argument est tout simplement illusoire, car en effet, dans sa formulation, il a suggéré que l’on maintient constamment les fouilles, les recherches de restes des espaces pour appuyés ses postulats et confirmé par la suite sa théorie. A vrai dire, il est décevant de voir naitre un courant Darwinisme persistant avec détermination sans fondement scientifique. Des nouvelles générations les sont victimes de ses influences mensongères sur les évènements des espèces. En dépit de quoi, je démontrerais dans cet article le non-fondement des théories de Darwin sur la lignée humaine de façon générale. De point de vue sur l’unicité des êtres humains, il faut constater par nature, l’existence véritable d’une similitude relative entre plusieurs êtres vivants plus sur le plan anatomique que sur le plan morphologique ; chromosomique ; moléculaire...etc. Aussi bien pour les espèces de même milieu que ceux des milieux distincts. Cela ne doit, en aucun cas nous laisser penser à l’idée d’un ancêtre commun. L’évolution d’un être « origine » ou au pluriel comme présuppose les Darwinismes ne pourront point expliquer le peuplement des milliards des milliards des espèces vivantes sur Terre. Cela constitue une mauvaise interprétation de la nature et de son évolution. En principe, le point commun entre les espèces est irréfutable et doit être vue sous l’angle d’appartenance à un même être suprême et non à un même ancêtre commun. Or c’est sidérant d’expliquer une multiplicité infinie des êtres, sachant que d’autres sont non découvert jusqu’au 2018 comme étant une dérive d’un ou plusieurs ancêtres communs.
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Sur le principe de la science, la phylogénie n’est pas en adéquation avec l’évolution des espèces dans une dimension beaucoup plus globale, elle est partielle et partiale dans son concept. Le temps ne serait pas le maitre d’oeuvre de la différenciation « magique » de ces espèces. Dans la fouille de restes squelettiques, les découvertes ne cessent de remettre en cause la considération même relative des principes de Darwin. En 2004, une équipe de prospection Aramco Exploration Team aurait découvert, d’ailleurs en Arabie saoudite un squelette humain de proportions hors norme. La trouvaille de restes des hommes géants en serait la preuve incontestable de l’imagination sans preuve de la pensée darwinisme. En ce qui concerne, la diversité des êtres vivants, il est tout à fait clair que la nature tient son équilibre par ce principe, il faut et sans conditions une diversité pour permettre la pérennité de la vie sur Terre. En ce sens, toutes les espèces s’entremêlent entre elles. Cette diversité n’est peut se voir dénoncer, elle est accueillie sans exception, Encore une fois, il faut rappeler que les végétaux sont bien des êtres vivants et que la terre en est ainsi. Je ne saurais comprendre comment Darwin n’a pu penser à ces êtres. Descartes dans son explication apporte sur l’origine des erreurs que le fait de se précipiter pousse davantage les gens à commettre des erreurs. L’attitude de Darwin en est le parfait exemple. Cette diversité, en effet, tire son origine de l’ingéniosité d’un être suprême sans équivoque et sans ambiguïté. En dernier point, la sélection naturelle, bien que définis comme étant l’équilibre de l’équilibre de l’environnement sur les espèces au cours du temps. Il est assez complexe d’en pouvoir comprendre dans une dimension complète. La reproduction de certaines espèces est en faveur des autres. La disparité des autres est avantageuse pour des futures nouvelles espèces, qui peuvent dériver des souches minoritaires. Le complexe environnement, prédateur et proie régie ce principe de complexité par excellence.
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En conclusion, penser que l’unicité laisse la place à la diversité des espèces est illusoire. Bien que la sélection naturelle soit le moteur de l’évolution des espèces au cours du temps. Ce n’est pas cette dernière qui détermine l’entre période de l’unicité et de la diversité des espèces. Le mystère de l’unicité des êtres vivants reste encore à percer, selon moi c’est la manifestation d’un être suprême, qui en définit. La diversité des êtres en est une essence incontournable pour la stabilité et la continuité de la vie sur Terre. Le rôle de la sélection naturelle doit être perçu comme l’interaction entre environnement et espèces. De cette condition, il n’y pas d’un ancêtre commun dans la ligné humaine avec les singes (surtout le bonobo). La similitude seule ne peut justifier cela, c’est la dérive utopique des courants darwinismes. Abdi-Basid ADAN

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