Industrialisation dans les pays en voie de development
Solow dans sa modélisation éminente, le facteur pionnier de son modèle empirique de la croissance économique était en principe celui du progrès technique auquel le capital humain constitue la clé première du progrès techniques.
Dans la littérature, une pluralité des variables sont considérées pour représenter le capital humain. Notamment, dans ce sens, le taux de scolarisation Brut, taux d’alphabétisation, Taux de fréquentation…etc. sont couramment considérés.
De mon point de vue, le capital humain est tout simplement la solution première dont nécessiterait une croissance économique et soutenue en Afrique. Or la négligence de ce paramètre dans le processus de la réalisation de la politique économique d’un pays en voie développement s’avérait incompatible à l’égard des objectifs prédéfinis. Il faudrait davantage d’investissement dans une voie prometteuse du secteur de l’éducation : une priorité primordiale pour un pays en voie développement. Il ne suffit pas de constructions des unités scolaires dans les différents régions et départements, mais d’abord de définir un modèle de la préservation de la qualité d’enseignement à l’échelle nationale pour chaque pays en voie de dévelopment.
Pour ce faire, il conviendrait sans équivoque de définir un indice de connaissance élémentaire (ICE) qui prend en compte spécifiquement chaque discipline en mettant en oeuvre un rapport entre la part de la science que l’on maitrise sur la part de la même discipline que l’on ignore. Pour y arriver, il faudrait alors graduer sur une barre de 100 toute discipline et actualisé cet indice à court terme pour pouvoir évaluer son évolution pour chaque individu et dans chaque discipline donnée.
Le système de la reconnaissance par diplôme des niveaux ou de l’expertise acquis par un individu en Afrique n’est plus adéquat, il nous faut désormais la considération d’un nouvel indicateur beaucoup plus robuste à l’échelle continentale, qui contribuerait essentiellement à l’industrialisation des pays africains à court terme.
Il n’est pas étonnant de voir aussi l’impact de l’influence culturelle étrangère sur les nouvelles générations. En allusion à la culture américaine qui perfore les idées, les
intentions, les buts à long terme de chaque génération et de chaque individu. Il semble
que l’on soit imprudent aux effets défavorables sur le taux de réussite scolaire dans
les pays infectés. En ces termes, il nous faut également mesurer la variable culturelle
sur une barre de 100% et parvenir à quantifier l’intensité de cette influence dans une
société donnée.
Il est vraisemblable que l’on soit amené à identifier une relation monotone et
croissante entre le taux d’échec de scolarisation et la variable culturelle étrangère,
c’est-à-dire, plus une culture étrangère s’impose face à la culture locale et plus le taux
de réussite scolaire se verra en baisse et indirectement d’une pression haussière sur
le taux de chômage et par conséquent défavorable pour la croissance économique
elle-même des pays victimes culturellement. Attention, il est important de reconnaitre
les effets négatifs sur l’éducation, sur la croissance de la force culturelle étrangère
dans un pays destinataire.
Courbe culture étrangère et échec scolaire
Il serait possible d’observer ces phénomènes à partir des données concrètes et de
constater une corrélation assez importante entre le taux d’échec scolaire et la variable
culture étrangère. D’autre part une corrélation négative entre le taux de croissance et
la variable culturelle .
Abdi-Basid ADAN
Solow dans sa modélisation éminente, le facteur pionnier de son modèle empirique de la croissance économique était en principe celui du progrès technique auquel le capital humain constitue la clé première du progrès techniques.
Dans la littérature, une pluralité des variables sont considérées pour représenter le capital humain. Notamment, dans ce sens, le taux de scolarisation Brut, taux d’alphabétisation, Taux de fréquentation…etc. sont couramment considérés.
De mon point de vue, le capital humain est tout simplement la solution première dont nécessiterait une croissance économique et soutenue en Afrique. Or la négligence de ce paramètre dans le processus de la réalisation de la politique économique d’un pays en voie développement s’avérait incompatible à l’égard des objectifs prédéfinis. Il faudrait davantage d’investissement dans une voie prometteuse du secteur de l’éducation : une priorité primordiale pour un pays en voie développement. Il ne suffit pas de constructions des unités scolaires dans les différents régions et départements, mais d’abord de définir un modèle de la préservation de la qualité d’enseignement à l’échelle nationale pour chaque pays en voie de dévelopment.
Pour ce faire, il conviendrait sans équivoque de définir un indice de connaissance élémentaire (ICE) qui prend en compte spécifiquement chaque discipline en mettant en oeuvre un rapport entre la part de la science que l’on maitrise sur la part de la même discipline que l’on ignore. Pour y arriver, il faudrait alors graduer sur une barre de 100 toute discipline et actualisé cet indice à court terme pour pouvoir évaluer son évolution pour chaque individu et dans chaque discipline donnée.
Le système de la reconnaissance par diplôme des niveaux ou de l’expertise acquis par un individu en Afrique n’est plus adéquat, il nous faut désormais la considération d’un nouvel indicateur beaucoup plus robuste à l’échelle continentale, qui contribuerait essentiellement à l’industrialisation des pays africains à court terme.
Il n’est pas étonnant de voir aussi l’impact de l’influence culturelle étrangère sur les nouvelles générations. En allusion à la culture américaine qui perfore les idées, les
intentions, les buts à long terme de chaque génération et de chaque individu. Il semble
que l’on soit imprudent aux effets défavorables sur le taux de réussite scolaire dans
les pays infectés. En ces termes, il nous faut également mesurer la variable culturelle
sur une barre de 100% et parvenir à quantifier l’intensité de cette influence dans une
société donnée.
Il est vraisemblable que l’on soit amené à identifier une relation monotone et
croissante entre le taux d’échec de scolarisation et la variable culturelle étrangère,
c’est-à-dire, plus une culture étrangère s’impose face à la culture locale et plus le taux
de réussite scolaire se verra en baisse et indirectement d’une pression haussière sur
le taux de chômage et par conséquent défavorable pour la croissance économique
elle-même des pays victimes culturellement. Attention, il est important de reconnaitre
les effets négatifs sur l’éducation, sur la croissance de la force culturelle étrangère
dans un pays destinataire.
Courbe culture étrangère et échec scolaire
Il serait possible d’observer ces phénomènes à partir des données concrètes et de
constater une corrélation assez importante entre le taux d’échec scolaire et la variable
culture étrangère. D’autre part une corrélation négative entre le taux de croissance et
la variable culturelle .
Abdi-Basid ADAN
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