jeudi 13 septembre 2018

La fausse intuition de Einstein


L’une des faits stipulés par la relativité restreint de Einstein en 1905 est celle de la remise en cause de l’existence de l’aspect temporel dans l’univers. A vrai dire la composante temporelle dans la réalité que nous percevions nous émane d’un principe simple : c’est celui du mouvement.
La Terre telle que nous la connaissons effectue deux sortes de mouvement l’une, la rotation sur elle-même et l’autre la révolution autour du soleil. Le premier est le résultat du nombre d’heure dans la journée qui est de 23h 56min et 4s (arrondie à 24 heures). Avec une vitesse de 1760 km/h, la terre nous fait voyager à travers deux temps distincts. En ce sens, le deuxième est la réalité du nombre de jour dans l’année un peu près de 365 jours, un voyage autour du soleil en chaque année à une vitesse près de 107 280 km/h.
Imaginer que la Terre effectue uniquement la rotation. Les conséquences d’une telle éventualité seraient d’un séjour sur Terre dans un même jour et par implication la constante continuelle de l’espérance de vie. En remarque générale, il faut un mouvement pour évaluer un temps. Qu’en est-il dans l’Univers ?
Depuis la naissance de l’Univers avec la théorie de Big Bang, la science et la religion attestent l’expansion sans arrêt de l’Univers. Un Univers en mouvement. De ce fait la distance entre deux galaxies ne cesse de s’agrandir de temps en temps et continue de s’éloigner à une vitesse donnée et par conséquence la possibilité de mesurer le temps entre deux galaxies, c’est-à-dire dans l’Univers est certainement possible.
Nous connaissons aussi que le soleil tourne autour de son centre dans la voie Lactée avec une vitesse près de 700 000 km/h. Encore une fois, l’aspect temps existe aussi bien dans notre galaxie.
Si la relativité restreint rejette l’existent de temps dans l’Univers, Alors elle se verra contradictoire davantage, puisque le temps existe sans doute dans le système solaire, la voie Lactée, entre deux galaxies et partout dans l’Univers. En général, elle caractérise l’existence du dynamisme. Dire que le temps n’existe pas, c’est autant dire que la réalité est utopique.
Plus encore, il faudrait que l’on distincte précisément deux types de masses
différentes : l’une consiste à une masse statique et l’autre en mouvement (instable). Il
est claire qu’une masse statistique (stable) est dépourvue d’énergie, elle est donc
immobile. Néanmoins, la masse en mouvement ou instable (ex. soleil) est celle qui
pourrait bien satisfaire la relativité restreinte : E=MC2 (1), contrairement à la masse
statistique (stable). Dans l’équation (1), la masse en question n’est pas du tout
spécifiée, c’est donc une erreur d’amalgame de la notion de masse en rapport à la
mobilité.
Or, l’énergie avec laquelle une masse est en mouvement subit une
décroissance exponentielle lorsque son énergie n’est plus mise au service, c’est-àdire
à l’instant où l’énergie n’est plus fonctionnelle, l’accumulation en sa masse se
transforme en une inertie qui décroît au cours du temps. La sous équation que l’on
peut déduire s’annonce en effet, comme suit :
Im=e-E=e-mc²
D’où : E=-ln(Im)
Avec 𝐼𝑚 ∶ 𝑖𝑛𝑒𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝑚𝑜𝑢𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 (𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒), 𝐸: é𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒.
Abdi-Basid ADAN

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