jeudi 13 septembre 2018

La perception de la notion de temps

La perception de la notion de temps
Une question prodigieuse à se poser : le temps existerait-il vraiment ? où la réalité en face de nous, nous cacherait-t-il une vérité aussi intime qu’elle ne l’essaye de la bien dissimulée au détriment d’une découverte révolutionnaire de tout le temps. Revenons-y au XVIIème, c’est à partir de 1666, un soir, sous un arbre avec un ciel dégagé, que Newton observe la chute d’une pomme, alors se demande pourquoi la lune ne tomberait-elle pas ainsi.
Delà, nait la physique classique. C’est remarquable et hallucinant de voir que la nature, le soir de 1666, a transmis son secret à Newton. Encore plus loin, en 1905, Einstein étend la physique classique à l’infiniment petit, au coeur même de la matière avec sa relativité restreinte (dans un référentiel non soumis à une accélération fictive comme le cas non galiléen) et à l’échelle cosmique avec sa relativité générale (existence de la courbure espace temp).
Ici, si l’on constate bien que l’on est toujours dans la tendance explicative de la nature en deux dimensions différentes. La question le plus perturbatrice pour Einstein étais la lumière et c’est à partir de cette interrogation que la porte de sa nouvelle physique s’ouvre, la physique quantique.
En vérité, il a été le seul à comprendre que le temps pouvait se ralentir d’un point un autre. Son explication sur l’effet photoélectrique ou l’absorption de photon (quanta de lumière) par le matériau, lors de l’interaction avec la lumière lui a valu le prix Nobel de physique en 1921. Une physique hors norme, qui n’est plus superficielle comme l’a été avec Newton mais qui part, cette fois-ci en profondeur de la nature pour expliquer les merveilleuses lois qui régissent.
De ce point de vue, il est clair et sans équivoque que la science de façon générale soit l’alternative pour l’Homme de mieux comprendre la nature qui conditionne tout élément de la vie. C’est sans aucun doute la clé pour mieux cerner la condition principale de la vie. En ce sens, Il n’y point de science sans nature.
De quoi le temps dépend -il alors ? Le paradoxe que je pense l’on peut émettre est de se dire à partir de la révolution de la terre et celle de la rotation, la décompte en 24 heures et les 365 jours de l’année est concrète mais de façon séparée. Si les 24
heures et les 365 jours ne sont pas des dérives du même mouvement, nous avons une discordance purement claire entre le court terme et le long terme. En ce sens, le référence ou la position et la mobilité joue un rôle important dans la détermination du temps. Elle est de ce fait bien relative et non absolue.
Pour découvrir le secret sur le principe de temps, il nous va falloir d’abord prêter d’intention particulière à la nature. Car cette dernière peut nous servir une troisième porte sur le mystère de la physique. Le temps, par définition, n’est rien d’autre que l’interaction entre la vie et la nature par l’intermédiaire de l’environnement. Il faut un environnement propice à la vie sous l’ordre de la nature.
Connaissant parfaitement de la non-continuité de la vie, or toutes les parties prenantes de la vie se recyclent et n’évoluent pas sur une trajectoire infinie. Elle ne fait que se rénover dans une nouvelle dimension exactement comme le dit la courbe en cloche de Laplace Gauss.
Certaines espèces vivent plus longtemps que d’autres. Le temps est non seulement reparti de façon non uniforme sur tout point du référencie, Mais existerait aussi des parties ou le temps est encore plus anormale. Pourquoi cette inégalité ou super inégalité du temps dans l’espace ? On pourrait envisager l’idée que la nature bien qu’elle soit fondée sur le principe de l’équilibre, adapter le temps pour maintenir ses fondements (stabilité diversité cycle, équilibre…etc.).
En évidence, le temps n’existe pas pour certaine entité. Il s’agit d’une composante première au quelle le temps ne lui s’applique pas. Cette idée est redevable du fait que l’élément en question ne soit pas lié à la nature, ni à la vie. C’est sans doute en occurrence au souffle vital autrement dit l’âme. Pour survivre, il n’a nullement besoin de boire, ni de manger.
En effet, c’est l’organisme qui en détermine le besoin mais pas en lui. Il est donc en dehors du principe de la vie. La nature ne lui s’applique pas. Et de ce point de vue, le temps aussi. Plusieurs physiciens se posent la question de savoir si le temps n’existait pas.
A vrai dire, le temps n’existe pas pour certaines entités, mais l’est pour d’autre de façon relative. Encore plus étonnant, dire que le grand père d’une famille et son petit-fils ont le même âge spirituellement. C’est qui diffère, c’est l’âge de leurs organismes.
En un mot, le temps est la mainmise de la nature sur la vie. Elle est relative selon le référentiel choisi et ne s’applique que sur tous les éléments qui contribuent la vie, c’est-à-dire le système solaire et ses diverses formes, les espèces à différentes espérances de vie, le cycle de l’environnement et le temps et l’espace lui-même sont tous concernés.
Abdi-Basid ADAN

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