jeudi 3 décembre 2020

Spiritualité, Covid-19 et Ancêtre : L’échec de la perception de la réalité en trois dimensions

 Spiritualité, Covid-19 et Ancêtre : L’échec de la perception de la réalité en trois dimensions

Par les sens, en nombre de cinq, avec lesquelles la réalité se dessine et prend forme, mettent en commun les vrais concepts de base qui définissent intuitivement c’est que véritablement la réalité. Certains essors, pourtant de pures réalités, les deviennent concrètement, une fois que nous eussions approuver un sens logique subjectivement à son égard. Certains incidents dépassant le cadre de la réalité que l’on s’imagine, y demeurent par le fait qu’elles soient tout simplement impossibles dans l’irréalité complexe. Alors, qu’est-ce que la réalité ? En quoi ses trois dimensions apportera -t-il des nouveaux pour clarifier ses ambigüités ? C’est l’objet principal de ce present travail, qui se contentera de servir un support essentiel pour démêler les trois dimensions en possession de la réalité.
La première forme de la réalité précède, en effet, les différents états de la nature et sur la même lignée d’ordre que l’état de connaissance sur l’origine de l’univers, la maitrise de la spiritualité dépasse le cadre de la matière physique. Des observations expérimentales en concordance avec la métaphysique nous ont permis d’identifier la spiritualité sous plusieurs critères dont quelques-unes parmi tant d’autres à savoir l’immortalité ; l’inexistence en genre ; le non engendrement ; les capacités surnaturelles ; l’indépendance vis-à-vis du temps et des énergies sous forme des nutriments ; le non vieillissement ; le non endormissement…etc. Nos énergies spirituelles membres de la famille des êtres non matériels exercent comme fonction principal, l’interconnexion des organes vitaux pour le maintien de l’individu à la vie. C’est d’ailleurs la séparation d’une telle paire, âme-corps, qui en devient l’origine effective de la mort. Telle est la promesse de chaque naissance, qui atteint son terme généralement par un disfonctionnement d’un de ses organes vitaux, pour faire valoir un prétexte de séparation de l’union âme-corps. Il n’est pas, sans doute, un privilège de la science d’étudier la phase de pénétration de cette énergie intracellulaire dans le corps. C’est une réalité que la logique ne se montre cependant pas habile à rattraper pour en élucider.
De part cette première dimension de la réalité, le monde de microorganisme est aussi une autre vision de la réalité. Ces espèces vivantes, ayant le même caractère sur le plan de la spiritualité que nous, illustre presque pareillement tous nos principes mais dans une dimension bien différente. Le célèbre Covid-19 et d’autre éléments pathogènes et mortels réalisent les mêmes accomplissements que celui d’un neutron bouleversant un noyau d’uranium, quand il s’agit de pénétrer un corps sain qui unis un être immatériel et un corps. Cet élément échange avec nos cellules d’un organe particulier par le biais d’un programme génétique qu’il dispose. Bien que certains virus soient récents, la similitude en information génétique laisse montrer les failles et l’obsolescences de nos informations génétiques face au potentiel de ces virus.
En vérité, la communauté scientifique attache la ligné humaine à l’homme habilis et antérieurement à une espèce de variété de singe, qui me semble de mauvais foie, pourrait se montrer significative dans le cadre d’une étude de classification des protéines des molécules d’acide désoxyribose nucléique des différentes espèces, que de se limiter sur le nombre de chromosomes et la ressemblance morphologique des espèces pour en tirer une information relative, hâtive dont les conclusions sont extrêmement déformées et à prendre du recul.

La dimension secondaire de la réalité est le monde vivant et ses lois des créatures de microorganismes. Or il est de connaissance que le programme génétique des virus accommode ceux de nos cellules. Alors convient-il de dire que les programmes ARN détourne en s’infiltrant dans celui de l’ADN ? Le déséquilibre de force qui en résulte nous ramène à intervenir pour neutraliser et transmettre des informations à nos cellules sur ses éléments pathogènes. La raison pour laquelle l’appellation de vaccination s’en est popularisé au détriment de nous surpasser de cette faiblesse de la lignée humaine.
En principe, nous sommes arrivés à communiquer avec des cellules naturelles sur un language matériel pour contenir les potentiels des virus. Il se doit sans équivoque à l’innovation des mesures pour parvenir à protéger ce monde de microorganisme qui constitue l’essence de nos bien-être et la base de notre existence, puisque c’est l’aspect visible qui nous définit dans la réalité intuitive avant tout. Il ne peut se matérialiser en effet, par le déchiffrement de l’ensemble des protéines de la molécule d’ARN du virus, de le transformer en une matrice de big data. Ce réarrangement permettra de réaliser des combinaisons de substitutions, des sélections des sous programmes pour des manipulations plus complexes. Or par cette initiative, il nous sera possible de tracer en avance tous les potentiels que disposent un virus bien avant sa mise en action. En classifiant tous ses capacités, des multiples solutions de neutralisations ou d’autodestructions peuvent en découler. Car, en effet, ces informations sont ultimes pour contrôler en si peu de temps un virus dont ses effets néfastes restent à découvrir. Les étapes des virologues me semblent entrepris à l’envers. C’est pourquoi cela demande des années pour en éradiquer.
La troisième dimension de la réalité prend forme avec nos cinq sens de la vue à l’odorat, en passant par l’ouïe ; la touche et le gout. Effectivement, la réalité non imaginaire de la spiritualité, puis son essoufflement dans un organisme ou microorganisme et enfin la relation entre microorganisme et organisme pour en exposer rien que deux dimensions de la réalité. La dernière nous est familier, mais elle est déterminée par ses valeurs, que j’appelle ici « ancêtre ou nos ancêtre ». L’origine d’un individu tout comme l’aliénation à l’égard de l’expérience de nos passés nous est d’une extrême utilité. Cet épicentre peu importe de quelle histoire elle dérive, sert d’un pilier pour le développement personnel, qui contribue à la civilisation. Par vérité, l’histoire a ses versions, que ces versions ont leurs intérêts spécifiques. Si la civilisation africaine à su dominer le monde malgré les mésopotamiens et les grecques, c’est grâce par une culture bien bâtis et en trahir celle-ci revenait à se ruiner, cela se montre avec la victoire des romains. Suite aux observations pluriannuelles des réussites scolaires dans les établissements africains, les meilleures d’entre eux sont ceux attachés à leurs cultures. C’est parce qu’ils sont arrivés à comprendre qu’il faut concilier la culture et la civilisation étrangère. Si l’on regarde la Chine, la Turquie, le Cuba, l’Iran…etc., ces pays en témoignent sur la véracité incontournable de la culture dans le développement. L’agence francophonie et les valeurs occidentales ne brillent que pour atteindre à la confiance que l’on accorde à sa propre culture, mais aussi à intimider les valeurs ancestrales et locales d’un peuple. Une façon d’inventer des cultures parasitaires autour d’une culture qui elle-même dérive de la source originaire du rift de l’Afrique de l’Est où l’humanité prend naissance.


Abdi-Basid ADAN

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