Perspectives Inédites sur
la Conscience
La conscience est définie communément comme cette
propriété que les êtres vivants se vantent pour faire valoir leurs existences, d’être
animer, de pouvoir participer, agir et jouer un rôle, qui à leurs yeux semblent
essentiels dans la vie. Une caractéristique parmi tant d’autre, se tenant au
premier plan et qui consiste à lamise en connaissance immédiate de l’état de
circonstance. En termes classiques, c’est agir et en même temps savoir que l'onagit.
Par opposition à l'inconscience, qui lui se manifeste dans des situations de
comportements irréfléchis ou par des accomplissements automatiques. Freud, le
dit clairement, "le moi n’est pas le maitre dans sa propre maison". Excepté
ce dernier, « le ça », prend relai également et s’identifie comme le réservoir
pulsionnel et le surmoi, comme l’instance des interdictions et idéaux. Le sujet n’est plus une entité soudée, mais une
réalité auto conflictuelle.
Dans ce présent article, ayant pour vocation première
une contribution sur la notion de la conscience et ses dérivés (la préconscience,
l’inconscience) connu jusqu’à nos jours. Avec ce nouvel horizon, qui s’annonce
plus que jamais élargir les percepts de la conscience avec des perspectives
prêts à être exploiter, il s’agit entre autres l’hyperconscience et
l’hypoconscience.
Tout comme Christoph Colombe à la quête de
l’Amérique, la conscience est certes interprétée, indirectement quand l'âme est
à la conquête du système psychisme. Une jouissance sur des multiples capacités
à sa disposition. Mais, il semble au préalable et sur la même longueur d'onde de
l'imperfection observée dans la vie présente, ramène sans épargner la
conscience à définir ses défauts et limites, constituant ainsi l'objet
fondamental de l'inconscience.
A l’instar de ces articulations, il ressort farouchement
que la conscience devient la coordination entre le système psychisme et le
souffle vital (âme), la conservant ainsi en action continuelle à travers les
charges électrifiées des neurones. Il est impératif de mettre hors de l’ombre
et loin de la confusion, un sujet emblématique, celui concernant les espèces de
même famille intangible. En ce termes, l’âme n'est pas assimilé à un esprit. En
outre, ce dernier se ramifie en plusieurs sous espèces dont certains semble
plus hostile à l’homme. Par leur caractère mal veillant, un esprit démoniaque
peut se permettre de remplacer l'âme dans la colonisation du psychisme à des degrés
différents. Il n’est pas ahurissant de voir une forme de fidélité d'entende
entre l'âme et l'esprit dans cette vie. Or, il se trouve que l'âme n'agit pas
seule dans sa prise de décision, dans ses actions.
L'hyperconscience consiste l'action propre de l'âme
quand celui-ci ne soit pas biaisée par toute forme d’influence extérieure spirituelle
directe ou indirecte. Par opposition, à l'hypoconscience, l'âme se voit contraint de céder pour un ou plusieurs
esprits, la gestion du psychisme autrement dit la conscience se met au service
d’un autre acteur spirituel. Par-là, il y’a lieu de comprendre que le corps
aussi mystique qu’il en soit, ne devientqu’une simple identité visuelle pour ces
êtres invisibles.
D’autant plus que des moments de l'hyperconscience
soient presque similaires à l’état de la conscience. La différence avec le
surmoi étant l'auto jugement de façon neutre sur ses propres actes accomplis. Une
forme de regret ressentit à l’égard d’une action accomplie pour un motif de
recherche soi-disant « état d’après désobéissance ».Contrairement à
se que Sartre le dit dans l’Être et le Néant, « autrui est, par
principe, celui qui me regarde et par le regard duquel je prends
conscience de ce que je suis ». Ici, par contraste, ce n’est nullement un
autrui qui fige sa propre liberté d’action mais son soi-même divulgue à quel degré
de prosaïsme s’est-il permis d’exercer.
Autre par amplification de la notion de la
conscience, il est de l’ordre du jour de la mise en clarté pour une
spécification entre la conscience humaine, outre que l’animal, celle
spirituelle. En ce terme, l’âme, une fois dans le corps, sa conscience est
immédiate et n’est pas pourvue de mémoire. C’est -à-dire elle n’a nullement
besoin de l’expérience. Car en effet, un bébé avec son environnement externe et
montre surtout qu’il est dominant. Comment se fait-il sans qu’une expérience ne
lui soit transmis ? C’est par la conscience spirituelle que cette remise
en cause s’explique davantage. A défaut du décès d’une personne la conscience
humaine s’arrête, mais celle spirituelle continue toujours.
Allons encore plus loin, du même avis que Einstein,
lui qui avoir affirmé que la science sans religion est boiteuse et que la
religion sans science est aveugle. Dans cette perspective, l’islam confirme la
moindre connaissance qui nous est partagée sur l’âme et qu’il est parmi les
anges l’être qui se voit le plus attribué de valeur. Nous nous rendons compte
que l’homme se voit supérioriser dans plusieurs contextes. Exemple de
manifestation : le cas de l’antisémitisme,du racisme, de l’ethnisme, y
compris la vanterie.
Abdi-Basid ADAN
Phematician