jeudi 20 juin 2019

Perspectives Inédites sur la Conscience


Perspectives Inédites sur la Conscience

La conscience est définie communément comme cette propriété que les êtres vivants se vantent pour faire valoir leurs existences, d’être animer, de pouvoir participer, agir et jouer un rôle, qui à leurs yeux semblent essentiels dans la vie. Une caractéristique parmi tant d’autre, se tenant au premier plan et qui consiste à lamise en connaissance immédiate de l’état de circonstance. En termes classiques, c’est agir et en même temps savoir que l'onagit. Par opposition à l'inconscience, qui lui se manifeste dans des situations de comportements irréfléchis ou par des accomplissements automatiques. Freud, le dit clairement, "le moi n’est pas le maitre dans sa propre maison". Excepté ce dernier, « le ça », prend relai également et s’identifie comme le réservoir pulsionnel et le surmoi, comme l’instance des interdictions et idéaux.  Le sujet n’est plus une entité soudée, mais une réalité auto conflictuelle.
Dans ce présent article, ayant pour vocation première une contribution sur la notion de la conscience et ses dérivés (la préconscience, l’inconscience) connu jusqu’à nos jours. Avec ce nouvel horizon, qui s’annonce plus que jamais élargir les percepts de la conscience avec des perspectives prêts à être exploiter, il s’agit entre autres l’hyperconscience et l’hypoconscience.
Tout comme Christoph Colombe à la quête de l’Amérique, la conscience est certes interprétée, indirectement quand l'âme est à la conquête du système psychisme. Une jouissance sur des multiples capacités à sa disposition. Mais, il semble au préalable et sur la même longueur d'onde de l'imperfection observée dans la vie présente, ramène sans épargner la conscience à définir ses défauts et limites, constituant ainsi l'objet fondamental de l'inconscience.
A l’instar de ces articulations, il ressort farouchement que la conscience devient la coordination entre le système psychisme et le souffle vital (âme), la conservant ainsi en action continuelle à travers les charges électrifiées des neurones. Il est impératif de mettre hors de l’ombre et loin de la confusion, un sujet emblématique, celui concernant les espèces de même famille intangible. En ce termes, l’âme n'est pas assimilé à un esprit. En outre, ce dernier se ramifie en plusieurs sous espèces dont certains semble plus hostile à l’homme. Par leur caractère mal veillant, un esprit démoniaque peut se permettre de remplacer l'âme dans la colonisation du psychisme à des degrés différents. Il n’est pas ahurissant de voir une forme de fidélité d'entende entre l'âme et l'esprit dans cette vie. Or, il se trouve que l'âme n'agit pas seule dans sa prise de décision, dans ses actions.
L'hyperconscience consiste l'action propre de l'âme quand celui-ci ne soit pas biaisée par toute forme d’influence extérieure spirituelle directe ou indirecte. Par opposition, à l'hypoconscience,  l'âme se voit contraint de céder pour un ou plusieurs esprits, la gestion du psychisme autrement dit la conscience se met au service d’un autre acteur spirituel. Par-là, il y’a lieu de comprendre que le corps aussi mystique qu’il en soit, ne devientqu’une simple identité visuelle pour ces êtres invisibles.
D’autant plus que des moments de l'hyperconscience soient presque similaires à l’état de la conscience. La différence avec le surmoi étant l'auto jugement de façon neutre sur ses propres actes accomplis. Une forme de regret ressentit à l’égard d’une action accomplie pour un motif de recherche soi-disant « état d’après désobéissance ».Contrairement à se que Sartre le dit dans l’Être et le Néant, « autrui est, par principe, celui qui me regarde et par le regard duquel je prends conscience de ce que je suis ». Ici, par contraste, ce n’est nullement un autrui qui fige sa propre liberté d’action mais son soi-même divulgue à quel degré de prosaïsme s’est-il permis d’exercer.
Autre par amplification de la notion de la conscience, il est de l’ordre du jour de la mise en clarté pour une spécification entre la conscience humaine, outre que l’animal, celle spirituelle. En ce terme, l’âme, une fois dans le corps, sa conscience est immédiate et n’est pas pourvue de mémoire. C’est -à-dire elle n’a nullement besoin de l’expérience. Car en effet, un bébé avec son environnement externe et montre surtout qu’il est dominant. Comment se fait-il sans qu’une expérience ne lui soit transmis ? C’est par la conscience spirituelle que cette remise en cause s’explique davantage. A défaut du décès d’une personne la conscience humaine s’arrête, mais celle spirituelle continue toujours.
Allons encore plus loin, du même avis que Einstein, lui qui avoir affirmé que la science sans religion est boiteuse et que la religion sans science est aveugle. Dans cette perspective, l’islam confirme la moindre connaissance qui nous est partagée sur l’âme et qu’il est parmi les anges l’être qui se voit le plus attribué de valeur. Nous nous rendons compte que l’homme se voit supérioriser dans plusieurs contextes. Exemple de manifestation : le cas de l’antisémitisme,du racisme, de l’ethnisme, y compris la vanterie.



Abdi-Basid ADAN
Phematician
abdi-basid@outlook.com

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